18ème/Montmartre
Quel écolier n’a pas gravé au canif sur son pupitre le prénom de son premier amour ? Quelle adolescente n’a pas livré à la pierre d’un mur de son quartier le secret d’un « Je t’aime »? Quel couple n’a pas ciselé ses initiales sur l’écorce d’un arbre dans un cœur percé d’une flèche ?
L’initiative de Frédéric Baron s’inscrit dans cette longue chaîne des passions muettes. Les amoureux ont leur jour de fête, la Saint-Valentin. Il est temps qu’ils aient aussi un point de rencontre. Un espace où l’amour se conjugue dans toutes les langues : Le mur des je t’aime.
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